Les gares font partie de l’infrastructure ferroviaire et de l’histoire de l’Europe. Elles constituent un élément essentiel de tous les réseaux ferroviaires nationaux. Certaines sont des icônes du passé et incarnent des histoires de la vie quotidienne de milliers de personnes. Elles constituent l’interface obligatoire entre les voyageurs et l’embarquement à bord des train
Le secrétaire d’Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a annoncé que les pertes à la SNCF, liées à la grève contre la réforme des retraites et à la crise du coronavirus, s’élèvent à “plus de quatre milliards d’euros”.
Cette évolution doit permettre d'accueillir près de 1.500.000 voyageurs par jour, soit près de 30% de la fréquentation habituelle avant le confinement.
Si le trafic est quasiment revenu à la normale, une soixantaine de stations restent inaccessibles aux voyageurs. Entre l'absence de nombreux agents et une distanciation sociale parfois impossible, la RATP n'en a pas fini avec la crise sanitaire.
Comptant parmi les secteurs les plus sensibles, le monde du transport est en pleine transformation, de plus en plus connecté et exposé à des cyberattaques potentiellement dévastatrices.
Mardi 2 juin, l’entrée en vigueur de la deuxième phase du déconfinement signe la fin de la limitation de déplacement à 100 km autour de son domicile. Dans les trains, toutes les places sont désormais à la vente.
Comment répondre au trafic sur des petites lignes où les critères du chemin de fer classique sont trop lourds et anti-économiques ? En revenant à une vieille idée : l’autorail ultra-léger proche du monde automobile.
Le secrétaire d'Etat aux transports Jean-Baptiste Djebbari a annoncé dimanche un assouplissement des mesures sanitaires pour la SNCF et la RATP. La règle d'un siège sur deux vacant dans les TGV va sauter, l'offre de trains va remonter, mais le masque restera obligatoire. Europe 1 fait le point.